Un concours inter-classes
- Des classes entières de troisième et de seconde ou de niveau équivalent dans des pays étrangers concourent entre elles.
- Une palette d’exercices variés leur est proposée (dix en troisième et treize en seconde).
- La solution de l’un des exercices doit être rédigée en langue étrangère.
- La classe s’organise pour résoudre les exercices en une heure et demie et rend une seule feuille-réponse pour chacun d’eux.
- Lors de l’épreuve de mars, la classe est surveillée par un autre professeur.
Pour quoi faire ?
- Ouvrir des frontières :
- entre la France et les pays voisins,
- entre les établissements scolaires, les entreprises et la cité,
- entre les mathématiques et les langues vivantes,
- entre les collèges et les lycées,
- entre les élèves d’une classe.
- Favoriser :
- l’intérêt pour les mathématiques,
- le travail en équipe,
- la participation de tous,
- l’initiative des élèves,
- la pratique d’une langue étrangère.
Des exercices variés :
- Ils sont de genres divers et de difficultés variées.
- Ils cherchent à favoriser le travail en équipe et s’adressent à tous les élèves.
- La rédaction d’un des exercices doit se faire en anglais, en allemand, en espagnol ou en italien.
- Chaque élève peut y trouver du plaisir selon ses goûts et ses compétences.
Images et texte tirés des pages Mathématiques Sans Frontières
sur le site de l’Académie de Strasbourg